mardi 29 juin 2010
Le Figaro - Flash Actu : L'homme préhistorique allait au cinéma
L'homme préhistorique allait déjà au cinéma - dans une version certes primitive -, ont découvert des chercheurs autrichiens et britanniques qui cherchent actuellement à recréer ces "films".
Des gravures rupestres datant de l'âge de cuivre, retrouvées sur des sites éloignés et difficiles d'accès dans toute l'Europe, montrent que ces images rupestres sont plus que de simples illustrations, selon des chercheurs des universités de Cambridge et de Sankt Pölten.
Lalibre.be - La Tate fête dix ans de succès
La Tate Modern est un énorme succès qui a redynamisé Londres. Et chaque année, l’artiste invité dans le “Turbine Hall” fait l’événement.
Ce mercredi, la Tate Modern de Londres fête ses dix ans. Plus encore que le Guggenheim de Bilbao, elle est l’exemple que chacun admire. Elle a déjà attiré 50 millions de visiteurs au total, soit cinq millions par an, ce qui en fait le plus grand musée d’art moderne et contemporain au monde avant le Centre Pompidou (3,5 millions de visiteurs par an) et le MoMa de New York (2,7 millions), alors pourtant que la Tate a des collections permanentes bien moindres que celles de ses concurrents. Ce triomphe a redynamisé Londres et en a fait une place marquante pour la création contemporaine.
Lalibre.be - Sommes-nous tous voyeurs et exhibitionnistes ?
De la photo documentaire, à la photo “volée”, du reportage à la surveillance. La Tate Modern étudie en 250 photographies cette question très actuelle.
Envoyé spécial à Londres
Sommes-nous devenus tous, des voyeurs et des exhibitionnistes malgré nous ? Chacun photographie, partout et par tous les temps. Avec les GSM, la téléréalité et Facebook, les images privées se multiplient et se diffusent sans freins. Pas un coin de la planète, pas une parcelle de l’intimité des particuliers comme des stars, n’échappe à l’œil possible d’une caméra.
Parfois pour le mieux, quand on dénonce ainsi les horreurs de la prison d’Abou Ghraib. Parfois aussi pour le pire quand ces mêmes photos créent un trouble malsain chez les voyeurs que nous sommes.
Les caméras nous surveillent aussi. Londres est devenu une ville entièrement "regardée" par des batteries de caméras (CCTV). Big Brother veille. Google Earth pense pouvoir zoomer jusque dans nos jardins. Alors, quel est le statut et le rôle de la photographie dans ce monde menaçant notre vie privée?
Cette question est abordée de front dans l’exposition "Exposed : voyeurism, surveillance and the camera" présentée à la Tate Modern jusqu’en octobre. Plus de 250 photographies, depuis le XIXe siècle, jusqu’aujourd’hui, souvent réalisées par de grandes stars, mais aussi des photos d’amateurs ou des photos capturées par des caméras automatiques, tentent de cerner la question qui se ramène finalement à l’intention qu’on donne à une photo et qui fixe son éthique.
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A la Tate
Lalibre.be - Ces villes devenues des parcs d’attraction
Dreamlands, passionnante expo sur les liens entre ces parcs et les “cités du futur”. Comment les architectes utilisent les délires de “l’entertainment”.
Envoyé spécial à Paris
L’exposition "Dreamlands" au Centre Pompidou à Paris, est non seulement ludique et artistique (avec de nombreuses œuvres d’art, surtout des photos), mais aussi très stimulante. Elle pose la question, et tente d’y répondre : nos villes, nos événements architecturaux, ne sont-ils pas influencés par la culture populaire des grandes expos universelles, des foires et des parcs d’attraction ? Nos villes ne deviennent-elles pas, parfois, un grand décor de théâtre destiné à faire rêver ou à marquer les imaginations dans un but de marketing ?
L’expo raconte plus d’un siècle d’évolution, partant du grand parc d’attraction (le premier du genre) "Dreamland", créé sur Coney Island à New York en 1904. On y avait reconstruit des décors de villes étrangères ou des ensembles plus fous les uns que les autres. Septante ans plus tard, en 1978, dans un essai devenu célèbre, "Delirious New York", le grand architecte hollandais Rem Koolhaas, montrait comment le modèle de "Dreamland" avait influencé la construction de Manhattan, devenu une sorte de grand parc d’attraction à son tour. En 1972, Robert Venturi faisait étudier Las Vegas par ses étudiants architectes et urbanistes et montrait comment cette ville était définie par ses enseignes qui s’alignent sur le célèbre "Strip" plus que par ses bâtiments. Ces livres et études furent autant de coups de pied aux dogmes classiques de l’architecture moderniste et fonctionnaliste.
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Villes parcs d'attraction, villes musées ?
lundi 28 juin 2010
Le Museum Rietberg de Zurich ouvre le grand zoo des animaux pharaoniques. | Tribune de Genève
Les Egyptiens étaient des gens modernes. Ils adoraient les animaux. Entendons-nous! Ils voyaient dans beaucoup d’entre eux un reflet du divin. Chaque dieu se voyait ainsi accolé avec une bête. Hathor avait la vache, Horus le faucon, Thot l’ibis et l’hippopotame (vous admirez la diversité!), tandis que Sekhmet avait fait sienne la lionne.
Les Grecs antiques se moquaient beaucoup de ces adorations tous azimuts. Elles n’avaient pourtant rien alors que de très courant. Les Hellènes eux-mêmes avaient surchargé leur mythologie de centaures, de sirènes et d’un certain Minotaure. Pas des animaux à part entière, certes. N’empêche que chacun d’un eux recelait sa lourde part de bestialité.
samedi 26 juin 2010
Les Nocturnes des Musées bruxellois fêteront leurs 10 ans | RTBF INFO
Les "Nocturnes des Musées bruxellois" souffleront cette année leurs 10 bougies. L'édition 2010 qui débutera le jeudi 23 septembre, s'annonce très festive, selon les organisateurs.
Les festivités débuteront le 23 septembre avec un vernissage gratuit dans les musées du Mont des Arts. Le Musée BELvue (où seront proposées des visites à la lampe de poche), le BOZAR, le Musée des Instruments de Musique (MIM), le Palais de Charles de Lorraine (où sera organisé un bal masqué), le Grand Serment Royal et de Saint-Georges des Arbalétriers de Bruxelles (où auront lieu des démonstrations de tir à l'arbalète) et le BIP ouvriront à cette occasion leurs portes.
Le Village des Musées rassemblera une quinzaine d'institutions qui donneront un avant-goût de leur programmation d'automne.
www.museesdebruxelles.be
vendredi 25 juin 2010
Museo Games, un musée pas comme les autres
useoGames n'est pas un musée comme les autres.
D'abord parce que c'est une exposition, ouverte depuis quelques jours et qui « squattera » le musée des Arts et Métiers à Paris jusqu'au 7 novembre prochain. Ensuite, parce qu'il a été pensé autant pour montrer l'histoire que le futur du jeu vidéo.
Enfin, et surtout, parce que MuseoGames, grâce à la participation de l'association MO5.com, offre à ses visiteurs de devenir ou redevenir des joueurs. Il est ainsi possible de reprendre en main les vieilles manettes, les vieilles souris, les vieux sticks de bornes d'arcade, qui ont fait la jeunesse des plus âgés et l'histoire d'un art de moins en moins mineur… Il a près de quarante ans.
mercredi 23 juin 2010
Afrika Museum - Holland.com, le site officiel de l'Office Néerlandais du Tourisme et des Congrès
Découvrez l'Afrique dans le pays des sept collines! Dans le Musée de l'Afrique vous partirez à la découverte de l'art et de la culture africains, à travers de belles expositions.
La collection initiale du musée a été rassemblée par des missionnaires travaillant en Afrique, afin de donner une image de la vie quotidienne dans ces contrées. Le Musée de l'Afrique possède également une collection d'objets achetés ou reçus en donation. La partie extérieure du musée est consacrée à l'architecture, avec des villages africains. Vous y trouverez des habitations typiques du Ghana, du Bénin, du peuple malien Dogon, ainsi que des mongulus des pygmées Baka du Cameroun. L'Afrique Australe est également représentée avec un village du Lesotho.
Découverte d'un hominidé de 3,6 millions d'années - Monde - Nouvelobs.com
WASHINGTON (AP) — Des archéologues ont découvert en Ethiopie les restes d'un hominidé de la même espèce que le célèbre fossile Lucy mais ayant vécu plusieurs centaines de milliers d'années plus tôt, selon une étude publiée mardi dans les Annales de l'Académie américaine des sciences (PNAS).
Le squelette partiel de cet Australopithecus afarensis, découvert dans la région de l'Afar, a été daté à environ 3,6 millions d'années. Il est ainsi 400.000 ans plus vieux que Lucy, l'un des plus célèbres fossiles du monde, mis au jour en 1974, et longtemps considéré comme le plus vieil hominidé connu.
Khoma, le bébé mammouth de 50.000 ans, arrive en France
France – Vieux de 50.000 ans, le bébé mammouth surnommé Khoma découvert dans le permafrost sibérien l'an dernier est en route pour la France. Il doit y être analysé et débarrassé des bactéries qu'il héberge avant d'être présenté au public.
Khoma est le plus vieux des six bébés mammouths retrouvés en Sibérie ces 200 dernières années, explique Bernard Buigues, spécialiste français mondialement réputé de ces pachydermes aujourd'hui disparus. "Nous n'avons pas réussi à le dater au carbone 14, ce qui signifie qu'il a plus de 50.000 ans : le carbone 14 devient inopérant au-delà", ajoute-t-il.
On ne sait pas si Khoma était un mâle ou une femelle. On sait en revanche qu'il est mort à l'âge de 6 ou 7 mois. C'est un chasseur qui l'a découvert en juillet 2009, dépassant du permafrost sur les berges de la rivière Khroma, environ 2.000 kilomètres au nord de Yakutsk, près de l'océan Arctique. La dépouille du jeune animal, avant d'être retrouvée, a malheureusement été partiellement dévorée par des renards, qui ont mangé la trompe et le sommet du crâne.
Bernard Buigues est un spécialiste des mammouths, réputé notamment pour avoir mis au jour les restes de Jarkov, un rare mammouth laineux adulte découvert en 1999. Il a rapidement été contacté par les scientifiques russes qui ont les premiers étudié Khoma.
mardi 22 juin 2010
Musée-Oh! débat : pour ou contre Universcience, la fusion de la Cité des Sciences et du Palais de la découverte ? - Le Blog Musée-Oh! L'actu en Muséologie
Technologies Nouvelles: Musée flottant
Voici une première: un musée flottant qui se double d'une boîte de nuit, tout en filtrant l'eau de l'océan. On l'appelle la Physalia et «vise à Voyage fleuves d'Europe, ce qui rend l'eau sale à boire; dans le même temps, le vaisseau génère plus d'énergie qu'il n'en consomme." Cliquez ici pour la première photo dans la galerie.
lundi 21 juin 2010
Lalibre.be - La puissance émotive des traces de vie
Au MAC’S, Laurent Busine consacre une exposition au brassage du temps, des mots, des images, des objets. Des témoignages et des œuvres qui conjurent la mort.
Loin de toutes les préoccupations estivales habituelles, Laurent Busine, directeur du MAC’s et commissaire en la circonstance, propose pour l’été une exposition grave, dense, pleine d’émotion, posant la question sur le constat de notre inéluctable destin, non pas tant de notre propre devenir mais des traces qui, après, nous subsisteront. Ou peut-être, plus exactement encore, de ce que nous envisageons de laisser derrière nous, consciemment ou pas, tel un portrait choisi pour les générations à venir. Non par vanité, l’idée n’étant pas de s’imposer, mais plutôt de livrer la substantifique moelle de ce que nous avons été et qui, peut-être, tient en une image, un mot transmis, un geste , rien ou presque. L’une des images les plus parlantes de l’esprit de cette exposition et du sens à lui donner, est ce petit mot sur un simple papier, assez maladroitement écrit mais de manière très appliquée et décorative, au stylo bille bleu : "A mon cher papa". Les sentiments de toute une vie dont on ne connaîtra rien sinon cette reconnaissance chargée d’émotion. Et Laurent Busine l’a placé sous un globe de verre, comme un objet précieux. Qu’il est. Et nul doute qu’il a lui-même pensé à son père, artiste peintre, disparu il n’y a pas si longtemps, et nul doute aussi que nous penserons tous au nôtre quoi qu’il ait été.
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Le Guggenheim Museum et Youtube élève la vidéo au rang de “nouvel art” ! :: Club Innovation & Culture CLIC France
La Fondation Guggenheim, le géant YouTube et HP s’associent pour lancer une Biennale innovante autour de la vidéo. Cette collaboration vise à détecter et récompenser les (jeunes) talents qui créent déjà leurs vidéos et les postent en ligne. Les 3 partenaires créent une plateforme commune, YouTube Play. Un jury d’experts, figures célèbres du monde des arts, du design, du cinéma et divertissement, devra choisir 20 créations vidéos parmi les 200 présélectionnées par les équipes de la Fondation Guggenheim. Ces 20 lauréats seront présentés lors d’une exposition itinérante mondiale, à partir du 21 octobre 2010 au musée Guggenheim de New York, puis ensuite à Berlin, Bilbao et Venise. Les œuvres récompensées bénéficieront également de la diffusion mondiale de YouTube.
New York expose ses belles Américaines - L'EXPRESS
Une exposition au Metropolitan Museum montre combien, outre-Atlantique, la femme est une actrice essentielle dans la construction de l'identité nationale.
"Le Monde ensorcelant d'Harry Potter" ouvre en Floride | RTBF INFO
Quelle distance entre un musée inventif et un parc d'attraction avec des objets? Se rejoignent-ils quelque part? Existe-t-il des hybrides? Je me souviens d'une représentation d'un cabane de géologue prospecteur à Disneyland France qui aurait été digne d'un musée de sciences. Musée, spectacle, attraction... quelle continuité ? Quelle différence ?
Musée écossais de pêche
Une façon de tester l'application de traduction Wordlingo. Peut mieux faire ?
Nomôdos: Musée d'Orsay, "Crime et châtiment" [1791-1981]: Exposition (16 mars-27 juin 2010) et catalogue d'exposition, Paris
Présentation
L'exposition Crime et châtiment envisage une période d'environ deux siècles: de 1791, lorsque Le Peletier de Saint-Fargeau réclame la suppression de la peine de mort, jusqu'au 30 septembre 1981, date du vote de son abolition en France. Durant toutes ces années, la littérature a créé d'innombrables personnages de criminels. Le titre de l'exposition est lui-même emprunté à Dostoïevski. Dans la presse, notamment dans les quotidiens illustrés, le crime de sang décuple par la fiction du romanesque sa puissance fantasmatique.
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Une exposition emblématique. Les musées jouent-ils un rôle de lien entre différentes faces de la société?
Les moulins se dévoilent - Nord Éclair, l'actualité quotidienne du Nord-Pas-de-Calais, de la métropole lilloise à l'Artois
Lorsque les voiles, ici rouge et bleu, sont en place et que le vent souffle, comme hier, les ailes tournent à une vitesse impressionnante. Lorsque les voiles, ici rouge et bleu, sont en place et que le vent souffle, comme hier, les ailes tournent à une vitesse impressionnante.
Ce dimanche, le Musée des moulins a ouvert ses portes gratuitement aux curieux. Et ils étaient nombreux à profiter de cette 27e Journée des moulins pour enfin gravir les escaliers de bois menant aux rouages de ces machines ailées.
ELSA BASTIEN > lille@nordeclair.fr
« Monsieur, c'est qui qui fait bouger les ailes ? » Les yeux s'écarquillent, les questions fusent. Si les enfants posent mille questions, les parents n'en sont pas moins curieux. Ce dimanche, beaucoup de familles se sont déplacées pour la Journée des moulins. Comme chaque année depuis 1983, le troisième dimanche du mois de juin, le Musée des moulins a ouvert ses portes gratuitement, de 14 h à 18h.
Avant la visite du musée, le passage obligé : monter les marches de bois et pénétrer, enfin, dans ces moulins que l'on a l'habitude d'apercevoir seulement de loin.
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Les musées des moulins battent-ils de l'aile ?
ouest-france.fr - Au musée, Gilbert Hulin présente le concept Bionat , Saint-André-de-la-Marche 19/06/2010
Le musée de la chaussure, actuellement et jusqu'à la fin octobre, présente une exposition sur les 25 usines de chaussures de la région choletaise. Certains directeurs de ces sociétés ont accepté de venir présenter leur produit. Lundi, Gilbert Hulin est venu du Longeron pour raconter son histoire.
« Je suis né dans le milieu de la chaussure puisque mon père a créé l'entreprise en 1963 et, dès l'âge de 14 ans, en 1964, je me suis mis à y travailler jusqu'à ce jour où j'ai fait la rencontre de Rémy Caspar, pionnier du bio en Alsace, qui fabriquait des modèles confort pas très esthétiques et, surtout, fabriquées dans des cuirs tannés au chrome et métaux lourds. Alors, ensemble, nous avons pensé : pourquoi ne pas créer une chaussure respectueuse de l'homme et de son environnement et qui, de plus, serait belle ? » Cette idée n'a pas quitté Gilbert Hulin et Rémy Caspar qui se sont mis en quête de matériaux naturels : cuir en tannage sans chrome, semelle en pur lait d'Hévéa, etc... Après avoir pris conseil auprès d'ostéopathes, les essais et la création des premiers modèles a débuté.
Quelles liaisons possibles entre un musée et une création, puis une commercialisation, technologique ?
dimanche 20 juin 2010
ouest-france.fr - Cet été, les enfants sont invités à créer au musée , Carquefou 18/06/2010
Cet été, les enfants sont invités à créer au musée - Carquefou
vendredi 18 juin 2010 Après une visite du musée et une sortie sur les bords de l'Edre, les enfants pourront créer un roman-photo avec la macre pour vedette.
En juillet, le musée des Renaudières propose aux enfants de 8 à 12 ans d'associer découverte de l'Erdre et création artistique. Une animation en lien avec son exposition permanente L'Erdre vivante, qu'après sa visite et une sortie sur les bords de l'Erdre, les enfants poursuivront avec un atelier de création animé par Guillaume Carreau, intervenant plasticien. Objectif : réaliser un roman-photo à propos de la macre (plante aquatique autrefois répandue). Leur réalisation sera ensuite présentée au musée. Ludique et instructive, l'animation est proposée sur deux jours en deux sessions au choix : les mercredi 7 et jeudi 8 juillet ou les mercredi 21 et jeudi 22 juillet. C'est gratuit, le nombre de place limité, et l'inscription indispensable (02 28 22 24 45).
Le musée sera ouvert du 3 au 31 juillet : du mercredi au dimanche, de 14 h à 18 h (visite guidée le dimanche à 15 h). Il sera fermé en août à l'exception des 27, 28 et 29, durant les Rendez-vous de l'Erdre. Tarifs : 4 € adultes, ou 10 € la carte pass musée, gratuit pour les -18 ans, étudiants, demandeurs d'emploi et bénéficiaires du RSA.
Contact : 02 28 22 24 45.
Informations sur le site Internet de la Ville : www.carquefou.fr/musee
Lalibre.be - Congo: 50 ans d’indépendance
En plus de sa très belle exposition sur le fleuve Congo, et qui d’ailleurs continue, le musée de Tervuren explore 50 ans d’indépendance congolaise. Une exposition réussie, vivante.
* Témoignage: envoyez-nous vos photos du Congo belge
Poursuivant sa quête de la mise à plat des réalités congolaises, des implications coloniales, historiques et actuelles, l’équipe scientifique du musée Royal de l’Afrique centrale se penche, avec succès, dans une expo didactique, vivante et colorée, sur les cinquante années qui ont suivi l’octroi par la Belgique d’une indépendance congolaise qui libérait l’ancienne colonie du joug paternaliste. Un tableau synoptique rappelle au visiteur la longue histoire du Congo avant et après la colonisation, puis l’expo prend son essor avec la fameuse "Table ronde" qui, du 20 janvier au 20 février 1960, scella le sort du conflit latent entre Belges et Congolais pour, in fine, déboucher sur la déclaration d’indépendance du 30 juin.
Il y a, ici, à voir, à entendre, à déguster, en y prenant tout son temps. Aux images, textes et objets, peintures ou pagnes de circonstance, jalons d’une histoire à rebondissements, s’ajoutent, à écouter absolument, les témoignages de ceux et celles qui avaient alors de dix à trente ans et racontent, aujourd’hui, leurs souvenirs du jour J et de ceux qui le suivirent et furent loin d’être toujours roses et chantants. Des photos des sites qui, là-bas et ici, rappellent encore la réalité coloniale, des plaques de rues et des sculptures qui, chez nous, l’illustrent, précèdent une histoire pas à pas qui déroule son fil rouge selon une logique assortie des faits, petits ou grands, justifiant le parcours. Et si le visiteur est immédiatement convié à se souvenir du chant de libération qui fit florès à l’époque et demeure dans toutes les oreilles, l’entraînant "Indépendance cha-cha" immortalisé par l’African Jazz de Grand Kallé, on eût aimé entendre davantage la sautillante ritournelle rumba. Elle nous est ravivée par des documents d’époque émouvants, mais un accompagnement musical incessant eût confié plus de rythme aux découvertes.
Le Fleuve Congo à Paris - L'EXPRESS
Avec Fleuve Congo, le musée du Quai Branly, à Paris, propose à partir du 22 juin une magnifique (re)découverte des arts premiers africains.
C'est un drôle de "masque-écusson" ponctué de trois paires d'yeux en "grains de café" qui scrute le visiteur. Née de la main d'un sculpteur anonyme ayant vécu au Gabon à la fin du xixe siècle, cette création quasi abstraite est l'un des nombreux trésors proposés par l'exposition du musée du Quai Branly consacrée aux arts d'Afrique centrale. Mais, au-delà de ce choc, c'est une véritable leçon d'esthétique à laquelle invite son commissaire, l'historien d'art François Neyt.
samedi 19 juin 2010
Le Figaro - Sciences et Technologies : Les derniers secrets des dinosaures
Ce samedi, la musique résonne au Muséum pour les 10 ans des Clefs de Saint-Pierre.
Pour célébrer les dix ans des « Clefs de Saint-Pierre », 50 musiciens de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse offrent au public ce samedi une grande fête de la musique de chambre dans les divers espaces que le Muséum a voulu complices de l’événement. Les oeuvres qui seront jouées évoquent des thèmes qui ne sont pas très éloignés de ceux développés par le Muséum, avec comme fil rouge de la journée le « Carnaval des animaux » de Saint-Saëns.
Les « Clefs de Saint-Pierre » sont nées du désir des musiciens de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse de créer et d’interpréter des programmes de musique de chambre. Depuis 10 ans, elles proposent des saisons de 5 concerts à l’Auditorium Saint-Pierre des Cuisines, lieu exceptionnel du patrimoine de Toulouse. Elles offrent à un public toujours plus nombreux, des programmes alternant les grandes oeuvres du répertoire classique ou romantique, le jazz ou le tango, la musique baroque ou contemporaine.
La musique résonne au Muséum de Toulouse - Toulouse Blog
Ce samedi, la musique résonne au Muséum pour les 10 ans des Clefs de Saint-Pierre.
Pour célébrer les dix ans des « Clefs de Saint-Pierre », 50 musiciens de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse offrent au public ce samedi une grande fête de la musique de chambre dans les divers espaces que le Muséum a voulu complices de l’événement. Les oeuvres qui seront jouées évoquent des thèmes qui ne sont pas très éloignés de ceux développés par le Muséum, avec comme fil rouge de la journée le « Carnaval des animaux » de Saint-Saëns.
Les « Clefs de Saint-Pierre » sont nées du désir des musiciens de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse de créer et d’interpréter des programmes de musique de chambre. Depuis 10 ans, elles proposent des saisons de 5 concerts à l’Auditorium Saint-Pierre des Cuisines, lieu exceptionnel du patrimoine de Toulouse. Elles offrent à un public toujours plus nombreux, des programmes alternant les grandes oeuvres du répertoire classique ou romantique, le jazz ou le tango, la musique baroque ou contemporaine.
Etablissement de la première chronologie absolue de l'Egypte dynastique
Etablissement de la première chronologie absolue de l'Egypte dynastique
Une équipe internationale de chercheurs (1) vient d'établir, pour la première fois, grâce à la datation par le carbone 14 (Le carbone (Table complète - Table étendue) 14 est un isotope (Le noyau d'un atome (Un atome (du grec ατομος, atomos, « que l'on ne peut diviser ») est la...) est constitué en première approche de protons et de neutrons. En physique nucléaire, deux atomes...) radioactif du carbone, noté 14C.), une chronologie absolue de l'Egypte dynastique (environ 1100-2700 ans avant J.-C.). L'analyse d'échantillons organiques, de courte durée de vie et archéologiquement attribués à un règne ou à une période égyptienne précise, permet de confirmer certaines estimations chronologiques mais impose aussi quelques révisions historiques. Ces résultats ont été publiés dans la revue Science du 18 juin 2010.
Depuis plus de 150 ans, explorateurs et chercheurs s'organisent à travers le monde pour essayer de mieux comprendre l'une des civilisations les plus fascinantes: l'Egypte Ancienne. Une chronologie relative des rois qui se sont succédé sur le trône d'Egypte a alors été progressivement mise en place par l'étude de documents épigraphiques, historiques ou archéologiques. En revanche, la réalisation d'une chronologie absolue est beaucoup plus délicate à concevoir puisqu'à chaque nouveau règne, le décompte des années était remis à zéro. Quelques informations astrophysiques avaient déjà permis d'envisager des points d'ancrage temporels mais celles-ci ne sont pas suffisantes pour situer précisément chacune des dynasties égyptiennes.
vendredi 18 juin 2010
jeudi 17 juin 2010
Al Gore inaugure le Low Carbon Concept Museum de Suntech
Un nouveau concept de musée, dédié au concept de « Low carbon », terme utilisé pour parler d’une société, d’un produit ou d’une technologie générant peu d’émission de dioxyde de carbone, a été inauguré par la compagnie Suntech Power Holdings Co., leader mondial de la fabrication de panneaux solaires.
Ainsi, le Low Carbon Concept Museum a été créé au sein même des locaux du siège social de Suntech aux Etats-Unis, et son inauguration a été marquée par la présence d’Al Gore, ancien vice-président des Etats-Unis et fervent militant environnemental.
mercredi 16 juin 2010
Le musée pour les meilleures vidéos du web - bestbuzz sur LePost.fr
Si tu es un créatif 2.0 et rêve que ta vidéo soit reconnue et exposée dans plusieurs musées Guggenheim, et bien tu as jusqu’au 31 juillet pour proposer ton œuvre sur la chaine Youtube spécialement conçue à cet effet. Elle devra avoir moins de 2 ans et surprendre sans autres restrictions !
Un jury international retiendra jusqu’à 20 vidéos parmi les 200 meilleures pré-sélectionnées et qui seront présentées le 21 octobre 2010 au musée Guggenheim de New York lors d’une soirée spéciale puis du 22 au 24 octobre au grand public dans les musées Guggenheim de Berlin, Bilbao et Venise.
voir sur le Post
Le musée de Brooklyn peine à fidéliser son public - Site Artclair - 16 juin 2010
Le musée de Brooklyn peine à fidéliser son public
NEW YORK (ETATS-UNIS) [16.06.10] – Le musée de Brooklyn, le deuxième plus grand musée de New York après le Metropolitan Museum, revoit sa fréquentation à la baisse et peine à fidéliser son public malgré une programmation dynamique.
Avec une fréquentation en baisse de 23% en 2009, le musée de Brooklyn de New York, pourtant le deuxième plus important musée de New York après le Metropolitan Museum of Art (Met) – et souvent à l’ombre de ce dernier – a du mal à attirer les visiteurs, mais surtout à fidéliser son public.
D’après le NY Times, plus d’un quart des visiteurs – 340 000 en 2009 – viennent le plus souvent lors des nocturnes le premier samedi de chaque mois ou lors des spectacles de musique ou de danse plus attirés par le buffet que par l’art en lui-même précise un ancien membre du conseil d’administration du musée.
A qui la faute ? Pour certains critiques, la principale raison est la programmation des expositions du musée aux thèmes pas assez « sensationnels ». Depuis sa rénovation en 2004, le musée espérait tripler sa fréquentation en dix ans en se concentrant sur le public local et a mis l’accent sur la culture populaire comme avec la dernière exposition de photographies consacrée à l’histoire du rock’n’roll ou encore l’exposition « Star Wars » et celle sur la culture hip hop. Pour Robert Storr, le doyen de la Yale University School of Art, cette thématique a eu un effet négatif pour le musée.
Pourtant le musée, créé en 1823, renferme une importante collection de peinture américaine, de sculpture et d’art décoratif à laquelle s’ajoute celle, non moins considérable, d’œuvres africaines, égyptiennes et précolombiennes. Pour sa défense, Arnold Lehman, directeur du musée insiste sur le succès récents du musée. L’exposition "Who Shot Rock & Roll : A Photographic History, 1955 to the Present" qui s’est achevée en janvier dernier a attiré les foules. De plus, le musée vient de conclure un partenariat avec la chaîne américaine Bravo pour accueillir l’exposition du futur gagnant de l’émission de télé-réalité « Work of Art : The Next Great Artist ».
Néanmoins, Lehman reconnaît qu’il est difficile d’attirer un public de plus en plus diversifié. A la fin des années 1990, le musée accueillait de 500 000 à 1 million de visiteurs par an, une fréquentation colossale comparée aux 340 000 en 2009. Une baisse d’autant plus remarquable quand la fréquentation celle des musées et autres institutions new-yorkaises n’excèdent par les 1% d’après une étude statistique de la municipalité.
mardi 15 juin 2010
Atelier de costume sur le conte : J-7 : Le blogue du Musée
L’atelier de costume sur le conte sera inauguré la semaine prochaine : le 22 juin! Les préparatifs s’accélèrent et n’oubliez pas que vous pouvez suivre nos photos du montage dans Flickr.
La découverte des iguanodons de Bernissart, Belgique
Le musée des sciences naturelles de Bruxelles a consacré une salle à cette découverte scientifique majeure du XIXe s. en Belgique. A cette occasion, les squelettes de plusieurs iguanodons ont été reconstitués. Rappel historique de la découverte à la conservation et à l’exposition de ces reptiles géants.
Une découverte dans la mine de Bernissart
C’est au cours de l’exploitation de la mine de charbon de Bernissart que furent découverts les fossiles des iguanodons, qui rendirent ce village célèbre. Lorsque les mineurs creusèrent de nouvelles galeries, ils arrivèrent dans une zone géologiquement perturbée. Cette situation était fréquente dans le bassin houiller. Ils étaient appelés cran, c’est-à-dire une sorte de puits naturel. Ces structures géologiques sont également fréquentes dans les bassins houillers de France.
Une prospection du site, localisé dans le cran du Midi entre 322 et 356 mètres de profondeur, permis d’extraire plusieurs fragments d’une texture encore inconnue du personnel de la mine. Ces éléments furent, dans un premier temps, interprétés comme des morceaux de bois fossilisés.
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lundi 14 juin 2010
Les photographies sont désormais interdites au Musée d'Orsay - La Tribune de l'Art
Les photographies sont désormais interdites au Musée d’Orsay
13/6/10 - Photographies - Musée d’Orsay - Il y a presque cinq ans, nous avions stigmatisé le Louvre pour avoir voulu interdire les photographies, une mesure heureusement bien vite annulée par le musée.
Aujourd’hui, c’est au tour d’Orsay de prohiber toute prise de vue dans son enceinte1, et le fait que nous soyons plutôt favorable à ses activités et aux travaux actuellement engagés ne nous empêchera pas de protester fermement contre cette décision, comme nous l’avions fait pour le Louvre et pour les mêmes raisons (voir notre éditorial du 25/9/05). Quelles que soient les justifications invoquées, cette mesure est légalement contestable et moralement condamnable. Que la décision ait été prise à l’unanimité par le CTP (c’est à dire le Comité Technique Paritaire) comme l’invoque la direction du musée ne la rend pas plus légitime.
Les photos des œuvres d’art doivent pouvoir circuler librement. On assiste insidieusement à une multiplication de ce genre d’interdiction, parfois même dans les musées de province. Le Musée Granet d’Aix-en-Provence, par exemple, est dans ce cas (il faut dire qu’il ne reste plus grand-chose à y photographier - voir notre article).
Les musées français sont publics. Leurs œuvres appartiennent à tous. Il existe encore, au moins théoriquement, une tutelle qui doit veiller à ce qu’ils respectent un certain nombre de principes. La liberté de photographier (sans flash évidemment) en fait partie. C’est au ministre de la Culture et à la Direction des Patrimoines de faire respecter ce droit.
Didier Rykner, dimanche 13 juin 2010
dimanche 13 juin 2010
Des peintures paléolithiques découvertes dans une grotte - lesoir.be
En Roumanie, des spéléologues ont découvert dans une grotte des peintures rupestres, les plus anciennes enregistrées jusqu’à présent dans l’Europe centrale, pouvant remonter jusqu’à 35.000 ans.
Il s’agit d’une « découverte majeure » dont l’ » authenticité est sûre », a indiqué M. Clottes, spécialiste d’art préhistorique, sollicité par les spécialistes roumains pour certifier la découverte.
Son équipe, composée de spéléologues, un paléontologue, une archéologue et deux spécialistes de l’art des cavernes, estime que les peintures « seraient attribuables à une période ancienne de l’art rupestre, au Gravettien ou à l’Aurignacien (entre 23.000 et 35.000 ans) ».
Selon les procédures, les estimations doivent être confirmées avec un test au carbone 14.
Questionaut, le monde étrange parmi les sciences « Y'a s'mine de rien joue sérieusement
Questionaut, le monde étrange parmi les sciences
13 06 2010
questionaut01 Bien que ce soit en anglais, je me dois de présenter ce jeu très bien réalisé, notamment en matière graphique puisqu’il a été créé par Amanita Design, connu pour Samorost pour la chaine BBC.
Questionaut vous fait voyager dans des mondes étranges à la recherche du chapeau de votre ami. Pour pouvoir traverser chacun de ces mondes (8 au total), vous devrez trouver les éléments déclencheurs qui vont vous mettre en contact avec l’un de ses habitants questionaut11 qui vous posera des questions diverses dans les domaines de l’écriture, les mathématiques, les sciences et la géométrie.
Chaque bonne réponse vous donne droit à un ballon d’oxygène. Il vous faudra 5 ballons pour pouvoir faire fonctionner votre montgolfière et ainsi continuer votre route. Attention qu’une mauvaise réponse vous fera perdre à chaque fois un ballon.
Je pense que des jeux du genre pourraient vraiment plaire aux jeunes étudiants dans nos régions francophones. Ceci dit, rien ne nous empêche de leur soumettre celui-ci en jouant ensemble en leur traduisant les questions et les réponses au fur et à mesure.
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Pour jouer avec Yasmine
samedi 12 juin 2010
Le Figaro - Voyages : Quand Bâle s'emballe
L'une des plus grandes foires européennes d'art, des rétrospectives de Jean-Michel Basquiat et de Gabriel Orozco… La ville suisse donne le tournis ces jours-ci !
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British Museum Collaborates With Wikipedia - NYTimes.com
By NOAM COHEN
The British Museum has begun an unusual collaboration with Wikipedia, the online, volunteer-written encyclopedia, to help ensure that the museum’s expertise and notable artifacts are reflected in that digital reference’s pages.
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Le British Museum et Wikipedia
vendredi 11 juin 2010
Des espèces un peu trop envahissantes menacent la biodiversité du Pays Basque - Le Journal du Pays Basque
11/06/2010
Pierre MAILHARIN
Il y a quelques semaines, Eric Guiho, responsable du Museum d'Histoire Naturelle de Bayonne, inauguré vendredi dernier, s'est retrouvé nez à nez avec un vison d'Amérique. Le petit animal, mortellement attaqué par un plus gros prédateur, probablement un renard, a aussitôt été «naturalisé» (empaillé), afin de prendre place au sein de l'exposition permanente, présentée dans le bâtiment aménagé à côté de la Maison des Barthes, plaine d'Ansot.
Voici donc un cas de passage rapide de vivant à objet muséal.Touristes et locaux photographient les mêmes points de vue: la preuve en cartes - Les Urbanités
Eric Fischer publie sur Flickr les cartes satellites des zones les plus photographiées dans les villes les plus fréquentées par les touristes dans le monde. Un point de vue saisissant qui souligne l’hyper-concentration des étrangers de passage dans une ville. Il superpose à ces cartes celles des espaces photographiés par les habitants de la ville. Si les zones photographiées par les locaux s’inscrivent dans un rayon plus large que celles immortalisées par les touristes, le périmètre général reste, et c’est ce qui est troublant, le même…A voir sur : http://www.flickr.com/photos/walkingsf/sets/72157624209158632/
jeudi 10 juin 2010
A Johannesburg, un musée pour mémoire - LeMonde.fr
Le point commun entre Berlin et Johannesburg ? La finale de Coupe du monde de football, évidemment. Un événement qu'à quatre années de distance, les deux métropoles auront eu l'honneur d'accueillir. Mais ce n'est pas tout. Ces dernières années, la mégapole sud-africaine a vu se développer -comme dans la capitale allemande où se visite, par exemple, le Mémorial de l'Holocauste - un tourisme mémoriel qui permet de comprendre et de ressentir au plus près ce que fut le passé douloureux de la " nation arc-en-ciel ".
Page de détail
28e Congrès annuel de l'AMCSTI, du 23 au 25 juin au Pass
Résolument tourné vers l'Europe et les collaborations transnationales, le Pass a souhaité accueillir cette année le congrès annuel de l'AMCSTI (association des musées et centres pour le développement de la culture scientifique, technique et industrielle). Ce 28e congrès des professionnels de la culture scientifique aura donc lieu du 23 au 25 juin 2010 au Pass.
La thématique: "L'Europe: un enjeu pour la culture scientifique?"
Depuis plusieurs années, la Commission européenne s'est emparée de la question de la relation "sciences et société", cherchant à façonner une autre manière d'envisager cette relation parfois compliquée. Cette politique volontariste pose plusieurs questions aux acteurs français de la Csti: quelle peut être la place de notre vision de la "culture scientifique" dans cette nouvelle approche? Quels sont les risques à s'engager dans ces nouvelles directions? Quels bénéfices aussi? ...
Mais il n'y a a pas que la politique communautaire à stimuler nos pratiques. Le rapprochement avec nos voisins provoque également des interrogations. Concernant les modes de financement comme les pratiques de médiation, quels enseignements tirer des initiatives prises par nos voisins et collègues qui travaillent sur les mêmes objets: science, publics, ...? Aboutissent-ils parfois à des résultats singulièrement différents?
La thématique sera l'occasion d'accueillir des acteurs du secteur venus de plusieurs pays européens pour débattre et échanger sur les enjeux et les pratiques de la diffusion de la culture scientifique à l'échelle de l'Union. Ce sera également l'occasion de proposer aux congressistes, des visites de musées, sites et centres de compétences belges qui se verront ainsi offrir une vitrine à l'échelle européenne.
Au programme
Ce congrès s'articule autour de moments forts comme celui de la séance introductive, ouverte au grand public (le mercredi 23/06 à 17h45), où des experts français et internationaux témoigneront des perspectives européennes en matière de culture scientifique et présenteront leurs expériences en lien avec l'Europe.
D'autres rendez-vous viendront ponctuer le programme de la manifestation: assemblées générales, remise des prix Diderot-Curien de l'initiative culturelle, visites de sites, ...
Plus d'infos sur www.amcsti.fr
Le "plus beau musée du monde", à Essen - LeMonde.fr
Avec le musée Folkwang, David Chipperfield signe à nouveau (il a dernièrement rénové avec succès le Neues Museum de Berlin) un bâtiment d'une grande finesse, digne d'être considéré comme “le plus beau musée du monde”, ainsi que le qualifia en 1932 Paul J. Sach, co-fondateur du Musée d'art moderne de New York.
Ludifier la ville. Réenchanter l'urbain - Blog - Groupe Chronos
Ludifier la ville. Réenchanter l'urbain
09 11/09 de Philippe Gargov
Deux milliards d'applications iPhone plus tard, nous voila consolidés dans la "civilisation du loisir" (Joffre Dumazedier, 1962)... dans nos pratiques urbaines, cette fois-ci. En s'infiltrant dans les plis de nos quotidiens, le jeu sur mobile tue le temps et la ville devient un bac à sable grandeur nature pour nomades connectés. Le jeu s'hybride au réel et à l'utile... aux dépens du virtuel. Le NYTimes annonce, "Foursquare : Plus qu'un jeu, un guide urbain".
Foursquare est une application iPhone qui buzze outre-atlantique. Via la géolocalisation du mobile, le jeu attribue des points à vos sorties - bars, discothèques ou galeries d'art. "Nous voulons transformer la vie en jeu vidéo", annoncent les concepteurs.
Le Blog Musée-Oh! (Museeoh) on Twitter
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Epicurium, premier musée vivant des fruits et légumes à Avignon - SAVEUR PASSION
Epicurium, le musée vivant des fruits et légumes, ouvre ses portes au public le 12 juin 2010 à Avignon.
Espace de découverte ludique et de culture scientifique et technique, Epicurium est un lieu unique en Europe qui propose au grand public un itinéraire de découverte du monde des fruits et des légumes. Verger, serre et potager, espace muséographique, animations au fil des saisons, ateliers culinaires, jardinage… Epicurium décline un parcours sensoriel à la fois instructif et amusant sur la diversité, l’origine, les modes de culture et de transformation, les qualités nutritionnelles des fruits et légumes. Des cycles de conférences, des projections, des journées à thème et des rencontres avec les professionnels de la filière seront également au programme d’Epicurium.
Sylvie Fayard, responsable du projet, a baptisé le musée "Epicurium" par référence à la philosophie de l’épicurisme, dont le fondement est la recherche des plaisirs naturels et l'aboutissement, la paix de l'âme. Tout a donc été pensé ici pour que la promenade soit sereine : le musée est planté d'arbres et de plantes qui apportent cet apaisement au coeur d'un environnement citadin, avec une vocation patrimoniale de conservation des fruits et légumes, qui va des variétés anciennes et "oubliées" (supposément ou véritablement) jusqu'aux dernières innovations de l'INRA.
à suivre sur le site
Coûte du Musée d Orsay | Observatoire des subventions
Combien coûte le Musée d’Orsay ?
culture • subventions État • à la uneLe musée d’Orsay est mondialement connu pour sa collection d’art impressionniste , présentant une collection de toiles de Courbet, Cézanne, Manet, Monet, Giacometti ou Couture. Quel est le montant des aides publiques versées par l’ Etat au Musée d’ Orsay ?
Le Musée d’Orsay a accueilli 1,4 million de visiteurs en 2007. L’Etat a versé au musée une subvention de 3,16 millions d’euros pour assurer ses charges de services public,
Coût pour l’ Etat : 4,4 euros par visiteur. Le Musée d’Orsay est un des rares musées qui s’ approche de l’équilibre budgétaire .
source: journaldunet.com
Marie Depeaux. Rouen
Après Jeanne d'Arc, les Rouennais eussent été fort inspirés de brûler Marie Depeaux. C'est une des leçons de l'exposition "Une ville pour l'impressionnisme, Monet, Pissarro et Gauguin à Rouen" : 126 tableaux, dont pas moins de onze exemplaires de la série des "Cathédrales" de Monet (il en a réalisé trente), une réunion qui tient de la performance tant ces oeuvres sont dispersées dans les musées du monde et les collections privées.
Le Figaro - Culture : Musée du Luxembourg : trois concurrents pour la reprise
Le nouvel exploitant de l'établissement culturel du Sénat sera désigné le 23 juin.
Qui va décrocher les clés du Musée du Luxembourg ? Depuis trois mois, trois entités - la RMN, Culturespaces et la Compagnie des Alpes - tentent de convaincre les sénateurs, propriétaires du musée, de retenir leur candidature. La décision sera annoncée le 23 juin, et d'ici là la guerre fera rage.
Pour l'instant, le musée est vide, puisque le Sénat a mis fin au contrat qui le liait avec l'ancien exploitant (SVO -Musée du Luxembourg) sur fond de litige.mercredi 9 juin 2010
Le Musée de Londres, rénové et interactif, devient un lieu vivant et audacieux - LeMonde.fr
Il y a tant de beaux musées à Londres que celui-là aura du mal à attirer les touristes. Ça tombe bien, il est destiné d'abord aux Anglais et aux Londoniens. Le Musée de Londres, construit en 1976 dans la City, le quartier d'affaires, a inauguré, le 28 mai, 2 300 m2 de salles rénovées. C'est un "Londres moderne" qui est raconté sur un seul niveau, ondoyant comme un serpent, du grand incendie de 1666 jusqu'aux Jeux olympiques de 2012, dont ce musée doit devenir un emblème.
Schindler: dix-sept ans après le film, le musée - 20minutes.fr
MEMOIRE - Il va ouvrir ses portes dans une ancienne usine de cet industriel qui sauva plus d'un millier de juifs pendant la Seconde Guerre mondiale...
Un musée consacré à Oskar Schindler sera inauguré jeudi à Cracovie en Pologne. Installé dans l'usine de cet industriel qui sauva plus d'un millier de juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, il contiendra une exposition multimédia portant sur le quotidien des habitants de Cracovie pendant la Seconde Guerre mondiale, a indiqué à l’AFP Marta Smietana, une responsable du musée historique de Cracovie.La collection Jacques Prévert vendue aux enchères - La photo du jour - la-Croix.com
La collection Jacques Prévert vendue aux enchères
Des morceaux choisis de la riche collection privée Jacques Prévert ont été vendus aux enchères à Drouot mercredi 9 juin pour 2,28 millions d'euros. C'est l'unique petite-fille et ayant droit de l'artiste, Eugénie Bachelot-Prévert , qui a choisi de mettre sur le marché de l'art cet ensemble puisé dans les trésors dont elle assure la conservation et la promotion avec la société Fatras.
L'enjeu de la vente consistait à souligner la place considérable qu'occupait Prévert (1900-1977) dans le milieu artistique, cinématographique, littéraire et musical du XXe siècle, mais aussi comme personnalité admirée par ses contemporains. Environ 90% des 49 lots mis aux enchères ont été vendus. L'ensemble des pièces sélectionnées avait été estimé de 700 000 à 800 000 euros.
Ces oeuvres resteront pour la plupart accessibles au public
MAXXI, le tout à l’ego - Libération
Il serait peut-être temps de dire aux architectes de cesser de construire des musées. La sinueuse aérogare dédiée à l’art contemporain surgie à Rome sous le nom de MAXXI (pour musée d’art du XXIe siècle) porte au paroxysme une tendance à l’écrasement de l’art qui s’est répandue depuis des décennies. L’édifice est maudit dès sa conception. Il aura fallu douze ans pour parvenir à ce pachyderme bossu, signé de la superstar britannique d’origine irakienne, Zaha Hadid. Cinq ans de retard pour l’ouverture. Le gouvernement aurait pu exploiter les casernes abandonnées du site, qui offraient des espaces adaptés à la diversité de la création d’aujourd’hui. Non, il fallait les raser pour dresser une méga-installation, dont le financement était loin d’être assuré…
Deux doigts de Galilée exposés dans un musée de Florence - Monde - Nouvelobs.com
FLORENCE, Italie (AP) — Deux doigts de l'astronome italien Galilée, retirés de son corps au XVIIIe siècle, vont être exposés dans un musée de Florence qui porte désormais son nom.
Le Musée de l'histoire de la science était fermé depuis deux ans pour des travaux de rénovation. Il a rouvert mardi et porte désormais le nom de Galilée. L'an dernier, le directeur de l'établissement avait annoncé que le pouce et le majeur de la main droite de Galilée avaient fait leur réapparition lors d'une vente aux enchères.
...
L'établissement abrite une importante collection d'instruments scientifiques, et notamment ceux de Galilée. AP
Sur le Net: http://www.museogalileo.it
mardi 8 juin 2010
Intermuse. Conclusions.
1. Inter-musées. Un réseau de visiteurs
Inter-muse, c’est aussi un appel à développer les relations entre musées. On voit à l’entrée de la plupart des musées, un présentoir avec les folders de nombreux lieux touristiques du pays. Il existe de nombreux réseaux. Dans l’esprit d’Intermuse on plaide pour le développement de collaborations entre visiteurs et particulièrement entre visiteurs scolaires. Collectage de feuilles de présentations, de rapports d’enseignants et d’élèves…
Ce pourrait être un complément des dossiers pédagogiques, souvent excellents, réalisés par le personnel des musées avec la collaboration des maîtres.
Réseau de veille aussi. Des sentinelles pour repérer tout ce qui peut aider l’éducation scolaire et l’éducation à tous les âges de la vie.
2. Des échanges
L’outil informatique favorise évidemment les échanges. Échanges de commentaires, traductions, suggestions d’animations, … Partage aussi de revendications sociales : accès aux handicapés, jour mensuel d’accès gratuit, création d’outils de visites pour une compréhension vers les peu scolarisés, les analphabètes ou les illettrés.
3. Inter aussi inter-générationnel
Inter comme intergénérationnel. Une émergence dans notre société et sans doute dans tous les pays : la place des aînés dans le public des musées. Et les visites changent de sens. Elles sont de moins en moins une façon d’occuper une vieillesse de plus en plus longue, ou de compléter une formation que les aléas de l’existence ont laissée en friche. De plus en plus les aînés, les seniors veulent rester socialement utiles.
Il y a là tout un gisement de bonnes volontés efficaces. Il faut éviter que les anciens ne prennent les emplois des salariés de l’ « entreprise musée ». Les restrictions budgétaires des États face à la crise incitent plutôt à des scénarios optimistes. L’apport de volontaires peut avoir un impact non négligeable sur l’équilibre financier des institutions culturelles et donc sur les possibilités d’engagement ou au moins de maintien. Il convient que ces personnes soient défrayées, pour leurs déplacements, leurs formations, afin que leur travail ne les fragilise pas. Pour une bonne part cela pourrait aussi prendre de la forme de gratuité d’accès à l’intérieur d’un réseau. Il importe de bien réguler les termes de l’échange.
4. Intermuse comme « muses »
Dans la culture de la Méditerranée orientale, cet espace de passé et d’avenir qui fut le centre de gravité du projet Intermuse, les Muses étaient des déesses. Hésiode, fils d’un habitant d’Anatolie, mais immigré en Grèce, les a extraordinairement mises en scène.
Selon Pausanias elles étaient trois :
Aédé, la « voix »,
Mélété, la « méditation »
Mnémé, la « mémoire ».
Les musées ne sont-ils pas, en suivant le livre d’André Malraux, « les voix du silence » ? Lieux de méditation sur la vie et maisons de mémoire ?
Ensuite dans la tradition les muses devinrent neuf, filles nées de folles nuits d’amour entre Zeus et Mnémosyne :
Clio, muse de l'histoire;
Euterpe, muse de la musique;
Thalie, muse de la comédie;
Melpomène, muse de la tragédie;
Terpsichore, muse de la danse;
Érato, muse de l'élégie;
Polymnie, muse de la poésie lyrique;
Uranie, muse de l'astronomie;
Calliope, muse de l'éloquence.
Chacune d’elles mérite sa place dans un Musée vivant et lors de la « Museum Night Fever » de Bruxelles, au début mars 2010, toutes étaient présentes à leur manière aux Musées d’Art et d’Histoire du Cinquantenaire. Alliance de la dynamique muséale et de l’enseignement. Les halls du passé devenaient en cette nuit fiévreuse, espaces magiques de présentation de modèles créés par une Haute École de stylistes, déambulation sur des sentes de patchwork, déclamations poétiques, évocation du passé, … Entre le musée et le spectacle il n’y avait même plus l’épaisseur d’un rideau.
Puisse cette harmonie inspirer les parcours scolaires dans les musées !
Hélas ! dans les souvenirs de l’enfance, les Musées ont souvent été marqués par le signe de la contrainte. Suivre le guide, ne pas s’asseoir, ne pas regarder ce qu’on n’a pas désigné. La fantaisie est bridée, la Muse est muselée.
Boileau le dit dans son Art poétique :
Enfin Malherbe vint, et le premier en France,
Fit sentir dans les vers une juste cadence :
D'un mot mis à sa place enseigna le pouvoir,
Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Qu’Intermuse soit un chemin vers une Muse libérée, aux couleurs vives de l’interculturalité.
Intermuse. Introduction
Quatre heures entre l’aéroport de la capitale de la Turquie et celui de Bruxelles-National. Le survol d’un des grands axes des civilisations et des conquêtes, Danube-Rhin, de l’Anatolie au pays des Celtes rhénans. Le chemin que des civilisations ont parcouru pour peupler les terres de l’Ouest, la route semée de massacres que des Galates ont teinté de rouge sang. Par l’avion ces routes d’aventures millénaires se surplombent en 4 heures.
Dernier vol après une ultime rencontre face à face avec des amis Roumains, Bulgares et Turcs. La conclusion d’un travail de quelques années. Intermuse, un projet Comenius 2 de l’Union Européenne. Il y a quelques années l’IIT, Institutul Intercultural Timişoara, Institut Interculturel de Timişoara avait présenté publiquement le projet aux autorités européennes et aux promoteurs d’autres projets sur la vie entière. Intermuse, Intercultural Education through Museums, Éducation Interculturelle à travers les Musées. C’est aujourd’hui le temps de l’écriture, des doigts qui tracent des propositions pédagogiques.
II. Les mots du projet Intermuse
Intermuse. Éducation interculturelle à travers les musées
• Éducation
Éduquer vient donc du latin educere, e-ducere, conduire hors. Éduquer c’est donc conduire hors de ses limites, accompagner une ouverture sur le monde.
Trop longtemps on a considéré que cette tâche commençait à l’enfance et se terminait au seuil de l’âge adulte. Les parents et les autres éducateurs possédaient un art de vivre, des connaissances (à enseigner), des modes d’emploi auxquels ils initiaient les jeunes pour qu’ils puissent un jour vivre seuls.
La situation a évolué rapidement ces dernières années. D’abord parce que les jeunes sont devenus beaucoup plus autonomes dans leurs apprentissages. Grâce à la télévision, à lnternet, aux rencontres… ils ont accès directement à des connaissances et des modes de vie que leurs aînés n’ont pas vraiment intégrés. Il n’y a plus de vraie rupture entre une période d’acquisition et une longue période de mise en œuvre des acquis. La formation se fait tout au long de l’existence. L’éducation, c’est amener hors de la vie, c’est préparer à sortir de l’aventure humaine, donc à mourir, si possible à la fin d’une vie accomplie.
Si l’éducation est pédagogie (accompagner les enfants), et même anthropogogie (accompagner l’individu humain) parler d’éducation c’est parler de ce qui nous accompagne tout au long de notre vie. Des hommes et des femmes ont accepté le rôle d’être des compagnons de route privilégiés. Dans les premiers âges, c’est le temps des instituteurs, ceux qui instituent. Puis ceux qui osent s’appeler professeurs, maîtres… Et de façon plus permanente, les médiateurs, les animateurs, … ceux des émissions radio ou télévision, ceux des conférences, ceux des musées.
• Interculturelle
C’est une éducation culturelle, interculturelle…
La culture c’est participer, c’est en même temps avoir part et prendre part au monde. Avoir part, se laisser immerger dans ce courant d’impressions, d’informations, de rencontres… Prendre part, c’est les intégrer de façon active, c’est créer, innover, tracer un chemin original.
Et notre monde a de plus en plus de possibilités de se découvrir interculturel. Cette rencontre bénéfique entre cultures se fait entre des groupes jadis séparés par l’espace. La mondialisation culturelle s’approfondit. On redécouvre art et coutumes de l’Afrique, de l’Asie, de mondes ruraux profonds.
Mais on respecte et on confronte aussi des cultures séparées par le temps. L’interculturel couvre temps et espace, c’est un champ de prédilection pour les musées historiques, anthropologiques, ethnologiques ou ethnographiques.
Intermuse en provoquant la rencontre de Turcs, de Bulgares, de Roumains, de Belges… a retrouvé un des grands axes de civilisation. Ensemble, et à grâce à Halil Demirdelen, archéologue au Musée d’Ankara, nous sommes allés ensemble dans la profondeur, dans ces logettes dévolues aux ateliers de jeunes, sur ces plates-bandes où des élèves peuvent tester leur goût de la fouille.
• À travers, par (through)
Pour la rencontre initiale, des représentants de groupe de type Comenius à Bruxelles, à l’Union européenne, il a fallu préparer un feuillet en anglais et en français, et traduire « through ». On aurait pu se contenter d’un insignifiant « par », « au moyen de ». Mais il faut aussi retrouver l’épaisseur historique de ce terme. Through : « from one side or end to the other; into and then out of; covering all parts; from beginning to end of; by means of; in consequence of; up to and including ».
D’un bout à l’autre, d’une fin à la fin, les musées ne sont pas impénétrables. Nous les traversons et ils nous traversent. Ils sont des outils et des ateliers, des pierres posées et des courants d’air. Le parcours sera le thème majeur de ce rapport.
• Les Musées
Les musées sont des bâtiments très divers. Leur rôle est de collecter, de conserver et de valoriser des objets. Ces objets ont souvent une valeur du fait de leur ancienneté, de leur rareté, de leur signification dans l’histoire. Mais on peut imaginer un « Musée éphémère », en promenade perpétuelle, et dont les objets ne survivraient que quelques heures. , cette évocation pourrait définir la « Zinneke Parade » cortège bisannuel de groupes multiethniques, dans des vêtements colorés, trimballant des mécaniques insolites souvent préparés pendant de longs mois et ne connaissant que quelques heures d’existence publique. Dans ce « musée » les visiteurs restent sur place et les objets se déplacent.
Les musées se focalisent chacun sur une gamme d’objets et de pratiques. Autour de la Science, de la Technologie, de l’Ethnographie, de l’Histoire et Archéologie, ou bien souvent de l’Art. Ils permettent les glissements d’un domaine à l’autre : la science et ses instruments, la technologie et les ustensiles de la vie quotidienne liés à un peuple, les lieux que des populations ont bâtis et hantés, les témoins de l’histoire, les œuvres d’art qui ont marqué certaines époques. À l’origine du projet Intermuse on pensait assez fort aux musées scientifiques et archéologiques. Les projets développés de fait tournent autour de l’archéologie et de l’art.
Dans beaucoup de musées, le contenant est en harmonie avec le contenu. Ils occupent des positions stratégiques. « The Art Museum » sur la Place de l’Unité de Timisoara (Timişoara Piaţa Unirii), le Musée historique de Vidin sur la rive du Danube… Le Musée National de Prague (Národní muzeum) surplombant la Place Wenceslas (Václavské náměstí). Les bâtiments du Smithsonian le long de la prestigieuse perspective qui va du Capitole au Mémorial Lincoln. Les Musées Royaux d’Art et d’Histoire dans le parc du Cinquantenaire à Bruxelles.
Ils ont parfois été construits pour devenir musées : le Guggenheim à Bilbao, Beaubourg-Pompidou à Paris et Metz… De fort prestigieux musées sont des salles de palais de monarchies déchues : l’Hermitage à Saint-Pétersbourg, Topkapi à Istanbul, le Louvre parisien évidemment, …
On parle de villes-musées, cités anciennes qui ont gardé in situ une belle partie de leur patrimoine. Ailleurs des musées ont pris la place de lieux détruits, de sites portuaires comme l’Exploratorium de San Francisco ou le « Glasgow Science Center » les rives de la Clyde.
Ils sont aussi dispersés dans la nature, comme ce petit musée de Gordion au pied du tumulus du Roi Midas. Témoins d’activités disparues : charbonnages, entreprises textiles, dans les meilleurs des cas sous forme d’écomusée.
Intermuse. Mes suggestions sur les élèves dans les musées. D'où je parle.
Ma formation : un doctorat en Sciences biologiques, et des diplômes en philosophie, théologie et pédagogie.
Au milieu des années 60 j'ai lancé une association sans but lucratif, le Centre Galilée, qui vient de terminer ses activités à la fin 2009. Le Centre Galilée a accompagné de façon importante l'entrée des sciences et des techniques dans le champ culturel. Pendant 10 ans j'ai travaillé à la promotion de la culture scientifique au sein du Conseil Supérieur de l'Éducation Permanente ("Populaire").
Depuis 1965 nous avons aidé la diffusion de la micro-informatique et des techniques autour de l'énergie.
Je visite des musées de façon intensive depuis mon enfance (j'habitais près des Musées du Cinquantenaire et de l'Institut des Sciences Naturelles à Bruxelles).
Avec le GLACS de Paris (Groupe de Liaison pour l'Action Culturelle Scientifique), nous avons étudié des dizaines de musées scientifiques du monde, en préparation à la Cité des Sciences de la Villette.
voir http://www.glacs.org/
Ma spécialité ce sont les musées scientifiques et techniques, y compris les musées archéologiques. J'en ai visité des centaines dans le monde.
En cette année 2010 je termine un rapport sur le projet Intermuse : l'Education interculturelle à travers les Musées. J'y travaille comme expert "Sciences et Sociétés" de l'IIT, Institut Interculturel de Timisoara.
Intermuse. Propositions pédagogiques pour les visites de musée.
Au centre du projet Intermuse il y a l’élève. C’est son point de vue qui sera adopté pour les propositions pédagogiques. Beaucoup de travaux portent sur le travail professionnel du muséographe ou de muséologue, et des collaborateurs professionnels des musées.
Ici on a fait l’exercice de rechercher le point de vue du « muséonaute », pédestre et/ou numérique. C’est lui qui de plus en plus souvent construit son parcours original dans le musée. On prédit qu’avec l’évolution des outils informatiques il créera un jour son musée.
Le web classique, le Web 1, partait du producteur de pages informatiques qui étaient proposées comme telles au lecteur. Depuis 2003 et plus largement depuis 2005, on parle de web 2.0, plus interactif, où l’utilisateur peut nourrir lui-même des sites. Dans le domaine documentaire, wikipedia représente un exemple significatif. Une encyclopédie rédigée, validée et corrigée par ses lecteurs. Avec ses failles bien sûr, puisqu’on pourrait assez facilement introduire une œuvre ou un personnage historiquement inexistant. On a pu parler de science citoyenne, mais il faut bien sûr être prudent avec ce terme.
La valse des chiffres des webs ne s’arrêtera pas de sitôt. On explore le web 3.0, sémantique. Le web 4.0 intègrerait des techniques comme la réalité augmentée. La perception basique de la réalité pourrait être augmentée en temps réel par des images virtuelles qui donneraient des indications complémentaires. Par exemple pour une œuvre d’art, une fiche indiquant les caractéristiques de l’œuvre se superposerait à la vision de l’œuvre. Joël de Rosnay imagine déjà un web 5.0 qui réunirait le monde du web et celui de notre être biologique. Un monde fascinant et affolant où par des capteurs biologiques voire la lecture directe dans le cerveau humain les objets muséaux interagiraient avec le corps du visiteur. C’est de la science – fiction mais toutes les techniques servant à sa mise en place existent déjà dans les laboratoires.
Pour alimenter les fantasmes, que se passerait-il dans un musée où passant devant un objet le visiteur serait identifié grâce à ses caractéristiques biométriques, à son visage, ou simplement grâce à sa tablette numérique il se verrait proposer des commentaires en fonction de son profil ? On sait que celui-ci est stocké dans les ordinateurs de Google, Yahoo ! et des autres. Le visiteur pourrait susciter par la pensée ou par des moyens plus classiques l’appel à la présentation d’autres œuvres, du même auteur, de la même époque, d’un histogramme de couleurs comparables, d’une organisation de formes semblables… L’essentiel des données (profil personnel, reconnaissance des visages, mots-clés ou tags, géolocalisation, … existe aujourd’hui sur Picasa.
Un univers terrifiant mais les élèves comme les enseignants doivent se préparer aux futurs possibles.
Dans l’initiation aux connaissances les individus, et particulièrement les jeunes, jouent un rôle de plus en plus central. Ils ont de plus en plus de responsabilités dans la composition de leur paquet de connaissances.
Partir de l’élève c’est aussi prendre en compte ceux qui accompagnent son parcours. Les enseignants, les animateurs des musées, les parents ou les grands-parents..
L’élève visiteur au centre. Ce n’est pas un être isolé mais il appartient à une classe. Cette classe appartient à un établissement scolaire. La classe a peut-être un ou plusieurs projets d’année. L’établissement s’est peut-être donné une charte dans laquelle les bonnes relations avec les autres lieux de culture de la localité sont un enjeu défini.
Dans l’école, à côté des enseignants, d’autres membres du personnel sont sans doute impliqués dans une visite : les documentalistes, ceux qui remplissent une fonction logistique, peut-être des intervenants réguliers (parents, amis, …) pour les activités en dehors de l’école. Derrière les enseignants il faut mentionner ceux qui les ont formé ou les forment, dans l’enseignement supérieur ou lors de recyclages.
Une question : quels enseignants organisent des activités extérieures ? C’est parfois le privilège de professeurs de disciplines artistiques, ou d’éveil (biologie, histoire, géographie et sciences sociales). Pourquoi certains enseignants ne sont-ils jamais des accompagnateurs ?
D’autres professionnels et amateurs contribuent à la réussite d’une visite. Ce sont évidemment des bénévoles issus d’associations, des personnes momentanément sans emploi, des seniors qui veulent garder une vie active et socialement utile.
Cela parait traditionnel mais on revient au rôle de la famille, des frères et des sœurs, des parents et des grands-parents. En interrogeant des visiteurs du dimanche, pas mal de jeunes disaient qu’ils avaient visité le musée dans le cadre scolaire, et qu’ils revenaient un jour de congé avec parents ou grands-parents, pour approfondir, élargir leurs découvertes, participer à des activités, prendre des photos à l’aise…
Dans le musée, il faut considérer la présence de ceux qui ont été à l’origine de la collecte, de la conservation ou de la présentation des objets qu’il a admirés. Archéologues, historiens, artistes, scientifiques… Des représentants de métiers auxquels une visite aura initié. Plusieurs musées ou expositions proposent clairement des fiches de métiers, éveillent des vocations (l’exposition Congo River au Museum Africa de Tervuren (Belgium), l’Archéoforum de Liège en Belgique aussi).
Un groupe d’élèves parcourant un musée est un groupe structuré. Dans la classe se sont organisés des groupes d’affinité qui vont certainement être repérables dans la visite et les pratiques du musée. Chaque élève est déjà repéré par ses petits camarades. Il y le monsieur « je sais tout » qui répond avant tous les autres aux questions de l’animateur. Celui qui a tout vu « c’est comme au Musée de Mexico », « j’ai vu le même avec mes parents à Saint-Pétersbourg à l’Hermitage ». Ou celui qui ne s’intéresse pas aux vieilles choses. Celui qui rit de tout. Ceux qui prennent des notes, mitraillent de leur appareil photo, sont attentifs au détail…
Pourquoi ne pas organiser un groupe à tâche, chargé dans la foulée de la visite, de créer un travail qui relaterait l’expérience : un montage PowerPoint, un dictionnaire des mots utilisés et particulièrement de ceux qui pourraient devenir des « tags », une frise chronologique situant chacun des objets, un petit musée à l’école en écho à celui visité, … ?
lundi 7 juin 2010
Un serious game pour les futurs touristes en Egypte « Y'a s'mine de rien joue sérieusement
Un serious game pour les futurs touristes en Egypte
8 06 2010
Lorsque vous voyagez, il est important de connaître un minimum les us et coutumes des pays que vous visitez. Certaines règles de politesse sont à connaître et parler aux habitants dans leur langue démontre une forme de respect et d’acceptation.
Khan El Kahillie est un jeu interactif qui va vous permettre de déambuler au marché Khan El Kahillie au Caire où vous pourrez interagir avec des personnes, acheter dans des magasins tout en vous familiarisant avec la monnaie et la langue locale.
A suivre sur le site de Yasmine
Le musée insolite de la semaine : le musée de la banane à… Washington ! - Le Blog Musée-Oh! L'actu en Muséologie
Un bric-à-brac.
J'ai un ami qui a "une banane dans l'oreille" et qui la cèderait volontiers à un musée.
Londres :: Le Museum of London s'agrandit :: Routard.com
Londres - Le Museum of London s'agrandit
07-06-2010 Le Museum of London a ouvert des nouvelles galeries dédiées à l’histoire moderne de Londres, du Grand Incendie de 1666 à nos jours. De Churchill à Cromwell, d’Oscar Wilde à Alexander McQueen, en passant par le Londres de Charles Dickens, cette extension présente les hommes et les courants qui ont forgé l’identité de Londres. De grands épisodes de l'histoire de la capitale britannique - comme le grand incendie, la peste, l’Empire, le Blitz, le couronnement de la reine, les années 60 ou encore le mouvement punk - sont retracés à travers quelque 7 000 objets.
Plus d'infos sur le net : Museum of London
Infos destination : Angleterre, Londres
à suivre sur le site du Routard
samedi 5 juin 2010
Vidéo: à Rouen, le plus grand tableau du monde! - france3 normandie sur LePost.fr
Ce samedi (5 juin), sur le parvis de l'hôtel de ville de Rouen, 1250 personnes ont reproduit en mosaïque une toile de Claude Monet.
A 18h30 précises, les bénévoles ont brandi les morceaux du puzzle géant pour recomposer la toile, une cathédrale (de Rouen) de Claude Monet, qui s'intitule "effet de soleil fin de journée".
Un puzzle de 600 mètres carrés ! C'est un record qui a été homologué par le Guiness Book.
L'opération, baptisée "Monet vu du ciel", marque le coup d'envoi du festival Normandie Impressionniste.
Joan Fontcuberta, manipulateur d'images - lesoir.be
Téléphones portables, revues, musées, internet : la photographie est partout. Joan Fontcuberta interroge cette déferlante en nous incitant au scepticisme. Ses images manipulées en studio ou par ordinateur sèment le trouble et suscitent le débat.
Une nuit en philosophie, à l'école normale supérieure, à Paris - LeMonde.fr
Rarement les murs de l'auguste établissement de la rue d'Ulm auront connu telle affluence. Plus de 1 800 personnes, selon les organisateurs, se sont pressées dans la nuit du vendredi 4 au samedi 5 juin au sein des locaux de l'école normale supérieure, à Paris, pour la première édition de la "nuit de la philosophie".
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Après la nuit des musées
ouest-france.fr - Les écoles exposent leurs « images viticoles » au musée , Saint-Lambert-du-Lattay 03/06/2010
Ouest-France / Pays de la Loire / Angers / Beaulieu-sur-Layon / Archives du jeudi 03-06-2010
Les écoles exposent leurs « images viticoles » au musée - Saint-Lambert-du-Lattay
jeudi 03 juin 2010 Noémie du collège Saint-Paul de Thouarcé a reçu le prix du public lors du vernissage de l'exposition, mardi dernier.
Le musée de la Vigne et du Vin d'Anjou accueille en ce moment une exposition photo d'élèves. Depuis le début de l'année scolaire, dix-sept classes des établissements catholiques du regroupement de Thouarcé ont travaillé autour de l'image.
Au total, 400 élèves de la grande section à la sixième, venus de six écoles du canton et du collège Saint-Paul de Thouarcé, ont participé au projet.
Comme les professionnels
Accompagnés de Jean Grovan, intervenant spécialisé dans la photographie, les élèves ont étudié des photographies de six professionnels ayant un thème commun : l'image océane. Ils ont donc pris le temps de lire ces images et d'analyser le contenu et les techniques différentes de chaque photographe.
À partir de cette analyse, un nouveau sujet a été défini pour s'initier à la pratique.
« L'idée de ce projet était de rendre l'enfant autonome avec un appareil photo numérique », explique Jean Grovan. Chaque participant a pris en compte le point de vue et la technique d'un des photographes étudiés. « Les enfants n'ont pas copié les professionnels, ils ont su s'inspirer d'eux pour être, à leur tour, auteur de leur photo », ajoute Jean Gorvan.
Pour clôturer cette année de travail, une sélection de 55 photos est exposée pendant trois mois. Chaque photo est accompagnée d'un texte de l'enfant expliquant sa démarche et l'inspiration puisée chez l'un des professionnels.
Lors du vernissage, trois prix ont été décernés : le prix du public, le prix du jury (composé d'enseignants) et le prix spécial du jury décerné par Jean Gorvan.
En juin, les samedis et dimanches après-midi de 14 h 30 à 18 h 30, et en juillet et août tous les jours de 11 h à 13 h et de 15 h à 19 h.
vendredi 4 juin 2010
Le Figaro - Culture : Une jungle de bambous sur le toit du Met
«Big Bambu, You Can't, You Don't and You Won't Stop», l'exposition organisée par le célèbre musée de Manhattan est ouverte jusqu'au 31 octobre.
À Manhattan, il n'y a pas que des gratte-ciel qui poussent. Il suffit de regarder en l'air du côté du Metropolitan Museum pour voir grandir sur son toit une épaisse forêt de bambous. Sur environ 12 mètres de haut, 30 mètres de long et 20 de large, des milliers de tiges s'entremêlent dans tous les sens, sans logique apparente. Cette «jungle» aux couleurs changeantes est l'œuvre de Doug et Mike Starn, deux artistes originaires du New Jersey, qui veillent chaque jour à ce que leur création pousse bien. D'ici à la fin de l'été, la construction comptera 50 000 tiges et fera plus de 15 mètres de haut. Pour la bâtir, ils ont fait appel à une cinquantaine de professionnels de l'escalade qui n'ont utilisé que de la cordelette de montagne pour assembler les chaumes de bambou.
ouest-france.fr - Les Petits Petons présentés au musée de la Chaussure , Saint-André-de-la-Marche 02/06/2010
L'histoire
En ce moment et jusqu'à la fin octobre, une exposition se tient au musée de la Chaussure : « Les 25 entreprises de chaussures de la région ». Parmi elles, « Le Petit-fils du Cordonnier », située à La Chapelle-Aubry, au coeur des Mauges, emploie douze personnes et fabrique des chaussons pour bébés de 0 à 12 mois. Des modèles que Damien Humeau, le directeur, est venu présenter jeudi au musée.
Sur le modèle de son arrière-grand-père qui avait fondé une cordonnerie en 1892, Damien Humeau a voulu perpétuer la tradition en créant une boutique en ligne de chaussons pour bébés pour les particuliers, tout en gardant les valeurs d'autrefois et le style naturel de la collection qui rappelle les beaux souvenirs de chez grand-maman.
Damien Humeau s'est confié : « C'est lors de la naissance de ma première fille, en voyant ses petits pieds nus, que j'ai ressenti cette émotion qui m'a donné l'idée de créer des chaussons pour bébé et l'émotion est toujours restée, intacte .»
Damien voue également un culte à son arrière-grand-père : « Il a créé sa cordonnerie en 1892 car, à cette époque, il y avait la crise et les prêtres qui avaient une grande influence ont suggéré aux gens de créer leur cordonnerie, ce qu'a fait mon arrière-grand-père qui employait 12 personnes et, cent ans plus tard, en 1992, je créais la société Les Petits Petons .» En 2001, Damien Humeau crée « Le Petit-fils du Cordonnier » pour les particuliers avec une vente uniquement en ligne, les petits chaussons sont livrés dans toute l'Europe accompagnés d'une carte personnalisée. L'entreprise produit de 50 000 à 90 000 paires de chaussons par an.
Contact. www.lepetitfilsducordonnier.fr.
jeudi 3 juin 2010
Lalibre.be - Le Musée Magritte a accueilli plus de 535.000 visiteurs
Plus de 535.000 visiteurs ont franchi en un an les portes du Musée Magritte de Bruxelles, lequel avait ouvert le 2 juin 2009. Face à ce succès, le musée a d'ailleurs dû instaurer un système de réservation afin de réguler le flux de visiteurs.
Spipoll pollinisation
Projet de sciences participatives, le SPIPOLL a pour but d’obtenir des données quantitatives sur les insectes pollinisateurs et/ou floricoles en mesurant les variations de leur diversité et celles de la structure des réseaux de pollinisation, sur l’ensemble de la France métropolitaine.
etourisme.info: Le Muséum de Toulouse à la pointe du 2.0•Le Blog du etourisme institutionnel
"Développer des passerelles d’intérêts entre nos publics sur place et nos publics internautes" est l’un des leitmotivs de Maud Dahlem, conceptrice multimédia et médiatrice scientifique en ligne au Muséum de Toulouse.
Maud Dahlem et son collègue Samuel Bausson, webmaster, sont très actifs en matière de web 2.0 et d’interactions avec les internautes. Si vous suivez l’actualité de l’e-tourisme, vous n’avez sûrement pas manqué de voir quelques unes de leurs actions ou leur présence lors de rencontres professionnelles à des fins de partage d’expériences.
Se prêtant au jeu de l’interview, Maud Dahlem, nous présente les projets passés et en cours. Pour débuter, tout d’abord un petit point sur le métier et les missions dont s’occupe Maud. Elle a en charge :
* la responsabilité des contenus scientifiques (et aussi jeunesse) sur le Muséum en ligne, et la coordination de ces contenus avec le Muséum en général,
* l’animation sur Flickr,
* la responsabilité des liens publics sur place et publics internautes,
* la conduite des réflexions sur les usages liés au web 2.0 et les contenus scientifiques.
* Elle est également la référente multimédia du Muséum avec la conception et l’écriture (ou aide à écriture) des cahiers des charges des bornes multimédias du Muséum.
mercredi 2 juin 2010
Un musée de l'histoire de France. Débat sur Musée-Oh!
Un an après son ouverture, beau succès pour le Musée Magritte - Culture - Actualité - Le Vif
Le Musée Magritte a ouvert ses portes le 2 juin 2009. Depuis lors, le rythme des fréquentations est au beau fixe avec ses 535.000 visiteurs.
mardi 1 juin 2010
Le Musée Grévin veut conquérir le monde avec ses figures de cire - LeMonde.fr
Alors que Madame Tussauds, son grand rival londonien, a essaimé à travers le monde (Amsterdam, Berlin, Hongkong, Los Angeles, Las Vegas, New York, Washington, Shanghaï et bientôt Bangkok), le Musée Grévin a lui aussi décidé de s'exporter.
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Barack Obama a rejoint ses homologues français, allemand et sénégalais au Musée Grévin.
Les faits Obama fait son entrée au musée Grévin
Ce haut lieu du tourisme parisien, qui compte 300 personnages de cire, prévoit d'ouvrir trois à cinq musées dans les cinq prochaines années.
Mercredi 26 mai, sa maison mère, la Compagnie des Alpes, présentait ses résultats. Leader mondial de l'exploitation des domaines skiables et propriétaire des parcs Astérix et Walibi, elle est aussi en discussion pour devenir l'actionnaire de référence du Futuroscope.
Son PDG, Dominique Marcel, a annoncé un projet de "réplication" du Musée Grévin. Chaque implantation devrait représenter un investissement de 8 à 10 millions d'euros, mais la liste des villes susceptibles d'être choisies est gardée secrète. Elles se situeront "en Europe, en Asie et au Canada".