vendredi 27 août 2010

Journées d'études « Musées & coopération » les 21 et 22 septembre 2010 - Le Blog Musée-Oh! L'actu en Muséologie

À l’occasion de son 25ème anniversaire, l’OCIM propose aux professionnels des musées de tous horizons culturels, d’art, de sciences et techniques, de société, des réflexions et des débats sur le sens et l’actualité de la coopération muséale. Coopération ! Terme précisément choisi pour caractériser l’une des missions de l’OCIM lors de sa création en 1985, au service des muséums et établissements de culture scientifique. Ce mot a t-il encore un sens dans le monde des musées, à l’heure où un nombre de plus en plus significatif de ces établissements, comme toutes les institutions culturelles, est progressivement atteint par des impératifs de résultats, voire de rentabilité, ou au minimum par d’importantes difficultés budgétaires pouvant mettre à mal des principes qui s’étaient depuis longtemps établis dans la déontologie professionnelle ? Et, tout d’abord, que signifie « coopérer » ? Le mot est-il à ranger au rayon des utopies, ou constitue-t-il encore une réponse aux enjeux actuels des musées ? Comment revisiter aujourd’hui le principe coopératif et son incarnation dans les musées ? Quelles sont ses échelles et ses espaces ? Quels sont les impacts de ces principes et de ces valeurs sur le fonctionnement du musée ? Ces rencontres ont pour ambition d’interroger le principe de coopération muséale en analysant son évolution passée et présente et ses perspectives, à travers les points de vue de professionnels, de chercheurs et d’acteurs, en rapprochant les parcours des individus, les institutions muséales et les réseaux.

Journées d'études « Musées & coopération » les 21 et 22 septembre 2010 - Le Blog Musée-Oh! L'actu en Muséologie

mardi 17 août 2010

Windows mobile : Microsoft fait le pari du jeu vidéo - LeMonde.fr

Comment relancer les ventes des terminaux mobiles équipés du système d'exploitation Windows ? En misant sur les jeux vidéo, semble répondre Microsoft. Avant le lancement, à l'automne, de la dernière version de Windows Mobile, la firme de Redmond a annoncé, lundi 16 août, que de nombreux jeux seraient disponibles pour cette plate-forme. On retrouve ainsi des licences populaires comme le jeu d'aventures "Castelvania", ou "Guitar Hero", assorti de nombreux titres pour les joueurs plus occasionnels, comme "Bejeweled" et "Uno".



Windows mobile : Microsoft fait le pari du jeu vidéo - LeMonde.fr

mercredi 4 août 2010

Canoë - Techno-Sciences - L'avenir de la cartographie et des visites de quartiers sur Internet

Des chercheurs de Microsoft travaillent à un projet qui pourrait bien changer notre façon d'interagir avec les cartes virtuelles sur nos ordinateurs et nos appareils portables.
La suite sur canoe


Canoë - Techno-Sciences - L'avenir de la cartographie et des visites de quartiers sur Internet

lundi 2 août 2010

La création d'un jeu vidéo, un travail d'équipe - LeMonde.fr

uelque 80 millions d'internautes élèvent déjà veaux, vaches, cochons, couvées dans leur ferme virtuelle sur FarmVille. Un jeu vidéo, développé sur le réseau social Facebook, qui connaît un succès phénoménal depuis plus d'un an. Résultat : son créateur, l'éditeur de jeux vidéo américain Zynga, est devenu l'une des coqueluches des investisseurs cherchant la future star du Net.

Jeudi 29 juillet, le groupe de télécommunications japonaise Softbank dévoilait avoir investi 150 millions de dollars (115 millions d'euros) dans Zynga. Les deux sociétés annonçaient aussi avoir créé une co-entreprise pour développer une offre de jeu sur les réseaux sociaux au Japon. La veille, Eric Schmidt, le patron de Google, avait reconnu dans un entretien publié par le Wall Street Journal, que "l'on pouvait s'attendre à un partenariat avec Zynga", même si rien n'avait encore été annoncé officiellement. Selon les rumeurs, le géant de l'Internet pourrait prendre un ticket de 150 millions de dollars dans l'éditeur de jeux.

En décembre 2009, la société californienne avait déjà bénéficié d'une levée de fonds de 180 millions de dollars. Parmi les investisseurs, le fonds d'origine russe Digital Sky Technologies (DST) qui a aussi pris une participation dans le capital de Facebook.

Mais Zynga, n'est pas le seul éditeur de jeux vidéos sur les réseaux sociaux à susciter la convoitise. Mardi, le groupe de médias Disney s'emparait de Playdom pour 563 millions de dollars, un chèque qui pourrait être rallongé de 200 millions de dollars en fonction des résultats de l'entreprise. En novembre 2009, le leader mondial du logiciel de jeu vidéo, l'américain Electronic Arts, avait ouvert la voie en achetant l'éditeur Playfish pour 275 millions de dollars.
La suite dans Le Monde :


La création d'un jeu vidéo, un travail d'équipe - LeMonde.fr

dimanche 1 août 2010

Les éditeurs de jeux vidéo sur les réseaux sociaux sont très convoités - LeMonde.fr

Quelque 80 millions d'internautes élèvent déjà veaux, vaches, cochons, couvées dans leur ferme virtuelle sur FarmVille. Un jeu vidéo, développé sur le réseau social Facebook, qui connaît un succès phénoménal depuis plus d'un an. Résultat : son créateur, l'éditeur de jeux vidéo américain Zynga, est devenu l'une des coqueluches des investisseurs cherchant la future star du Net.

Jeudi 29 juillet, le groupe de télécommunications japonaise Softbank dévoilait avoir investi 150 millions de dollars (115 millions d'euros) dans Zynga. Les deux sociétés annonçaient aussi avoir créé une co-entreprise pour développer une offre de jeu sur les réseaux sociaux au Japon. La veille, Eric Schmidt, le patron de Google, avait reconnu dans un entretien publié par le Wall Street Journal, que "l'on pouvait s'attendre à un partenariat avec Zynga", même si rien n'avait encore été annoncé officiellement. Selon les rumeurs, le géant de l'Internet pourrait prendre un ticket de 150 millions de dollars dans l'éditeur de jeux.

à suivre dans Le Monde

Les éditeurs de jeux vidéo sur les réseaux sociaux sont très convoités - LeMonde.fr

Lalibre.be - Un trésor de près de 3.000 ans renaît des gravats de la 2e guerre mondiale

Il aura fallu près de neuf ans pour reconstituer quelque 60 statues et bas-reliefs à partir de 27.000 fragments de basalte recueillis dans les décombres incendiés d'un musée berlinois, et quasiment oubliés depuis lors dans des caisses dans l'ancienne Allemagne de l'Est.

Un trésor archéologique, vieux de près de 3.000 ans et détruit par un bombardement, vient de renaître à Berlin des gravats de la seconde guerre mondiale.

Il aura fallu près de neuf ans pour reconstituer quelque 60 statues et bas-reliefs à partir de 27.000 fragments de basalte recueillis dans les décombres incendiés d'un musée berlinois, et quasiment oubliés depuis lors dans des caisses dans l'ancienne Allemagne de l'Est.

"Nous avons reconstitué plus de 90% des pièces provenant du musée de Tell Halaf", déclare fièrement à l'AFP Lutz Martin, 56 ans, archéologue et responsable du projet au musée berlinois de Pergame.

"Sur les 27.000 fragments, il n'en reste qu'à peu près 2.000" en vrac, ajoute-t-il.Ce travail a été réalisé par une petite équipe d'archéologues, de scientifiques, et de restaurateurs financés par la famille de Max von Oppenheim, fils de banquier et inventeur du trésor archéologique découvert à la veille de la première guerre mondiale sur le tracé du chemin de fer Berlin-Bagdad dans une région aujourd'hui située au nord de la Syrie, à la frontière turque.

à suivre dans La Libre Belgique

Lalibre.be - Un trésor de près de 3.000 ans renaît des gravats de la 2e guerre mondiale