vendredi 29 octobre 2010

Le Pérou reclame les trésors du Machu Picchu à l'université Yale | Rue89

Le gouvernement péruvien vient de lancer une croisade archéologique de taille : récupérer les trésors du Machu Picchu, le site inca le plus touristique du pays. Un sacré défi puisque 46 000 pièces des vestiges de la citadelle sont conservées dans les salles d'étude de la prestigieuse université américaine Yale.

Alors que celle-ci refuse de restituer les objets acquis, le président péruvien Alan Garcia menace de recourir à toutes les instances légales possibles pour sauver son patrimoine culturel. Début novembre, le Pérou déposera une plainte devant la cour du Connecticut contre l'université pour « appropriation illicite d'objets archéologiques » :

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Le Pérou reclame les trésors du Machu Picchu à l'université Yale | Rue89

Muybridge, chantre de la beauté du corps humain

Assassin de l’amant de sa femme, aventurier anglais dans l’Ouest américain, changeant l’orthographe de son nom et de son prénom (Edward Muggeridge devenant Eadweard Muybridge), homme d’affaires plus ou moins avisé, mais néanmoins grugé par Mr. Stanford, Muybridge a eu une vie mouvementée. S’il reste, pour tout un chacun, le co-inventeur (avec Marey) de la photographie du mouvement, l’exposition de son travail à la Tate Britain à Londres (avec plus de 150 photographies; jusqu’au 16 janvier) est l’occasion de découvrir aussi bien d’autres aspects : il est le chantre de la conquête de l’Ouest, des chemins de fer, de la colonisation de l’Alaska, du tourisme naissant en Californie (à Yosemite en particulier), des dernières guerres indiennes (même s’il photographie de faux indiens Modoc, n’ayant pu approcher les farouches guerriers), mais aussi le promoteur (stipendié) de la culture du café au Guatemala et des mérites du Canal de Panama.

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Muybridge, chantre de la beauté du corps humain

mardi 26 octobre 2010

Le musée de Villeneuve-d'Ascq, ses grands plus et ses moins... - Musée LAM - Lille métropole musée d'art moderne d'art contemporain et d'art brut - La Voix du Nord

UN MOIS APRÉS L'OUVERTURE DU LAM |

La réouverture du LaM (qui a accueilli 36 000 visiteurs depuis son ouverture le 25 septembre, dont 20 % d'étrangers) a été saluée par de très nombreux médias.

C'est la nouveauté qui a été mise en avant : la présence sur le sol français d'une importante collection d'art brut. Le développement de la section contemporaine et la collection Dutilleul-Masurel ont été moins mis en évidence. Et pourtant : quels joyaux ! S'il fallait résumer et classer des impressions initiales, voici notre avis :

Les grands plus - C'est un musée de plain-pied, où l'on a plaisir à se promener avec vues sur le joli parc. L'accueil y est soigné, rajeuni, avec visio-guides, parcours pour enfants, visites guidées, documents en trois langues.

À suivre :

Le musée de Villeneuve-d'Ascq, ses grands plus et ses moins... - Musée LAM - Lille métropole musée d'art moderne d'art contemporain et d'art brut - La Voix du Nord

mardi 19 octobre 2010

Google va mettre en ligne les rouleaux de la mer Morte - lesoir.be

Le département israélien des antiquités et Google ont annoncé leur décision de s’associer pour mettre en ligne les célèbres rouleaux de la mer Morte.
Le projet offrira un accès gratuit et mondial au texte, en proposant des images haute résolution de ce document vieux de 2.000 ans, considéré comme l’une des plus grandes découvertes archéologiques du 20e siècle. Les premières photos devraient être mises en ligne d’ici quelques mois.

Découverts dans des grottes près de la mer Morte à la fin des années 1940, les rouleaux seront disponibles dans leurs langues originales -l’hébreu, l’araméen et le grec –, et en anglais. Des traductions dans d’autres langues seront proposées ultérieurement.

Google va mettre en ligne les rouleaux de la mer Morte - lesoir.be

mercredi 6 octobre 2010

Le Muséum d'histoire naturelle s'offre aux enfants - LeMonde.fr

Une première pour le Muséum national d'histoire naturelle qui inaugure, à Paris, mercredi 6 octobre, sa "Galerie des enfants", avec une approche très didactique des milieux de vie. Dans un petit espace, 500 m2, elle vient compléter, de manière efficace et ludique, le propos de la Grande Galerie de l'évolution où 50 % des visiteurs sont des enfants. Il s'agit de montrer comment l'homme et les animaux cohabitent. Mais aussi les animaux entre eux. Le jour, la nuit. En ville, à Paris ; au bord d'une rivière, en vallée de Seine ; chez les Kayapo d'Amazonie, dans la forêt tropicale aujourd'hui menacée.

"Il nous a paru important de faire comprendre en profondeur les interrelations entre les espèces, précise Robert Barbault, directeur du département Ecologie et gestion de la biodiversité du Muséum. En touchant les enfants et les familles, nous réalisons un travail pédagogique de fond susceptible de changer durablement les comportements des citoyens."
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Le Muséum d'histoire naturelle s'offre aux enfants - LeMonde.fr